D'accord sur ton commentaire, et c'est d'ailleurs ce qui motive mon commentaire optimiste sur l'exception culturelle belge. L'amour de la bière leur permetra toujors de nous sortir quelque chose de bien.
Ce midi, tout seul à la maison, je me suis bu une st feuillen et pas une leffe. Ceci dit les bières de grande consommation font également partie du patrimoine et du paysage biérophiles.
Si elles ne sont pas aussi bonnes que les bières artisanales, elles peuvent être "potables" en tant que bières de soif, surtout avec la convivialité qu'apporte la pompe à bière. Je me rappelle une halte forcée en randonnée VTT (un dérailleur explosé), au "café des sports" de ramegnies-chin, 3 heures à attendre la voiture-balai de ma femme avant de reprendre l'ascension du Mont Saint Aubert. Nous avons passé un super moment à boire de la Jupi !
Nombreux sont ceux qui ne seraient jamais venus à la bière de qualité sans avoir eu un jour cette illusion en buvant une Leffe ou Hoorgarden (euh... pas d'illusion avec la jupi !) Pour découvrir et apprécier mieux ensuite.
Je déplore donc pour nos amis belges les fermetures de brasseries, même industrielles, décidées par des gens qui vendent principalement des bières sbrésiliennes ans goût (dixit le reportage) à moins 5°.
Tous "à vos cassettes !" pour la rediffusion demain matin, et on en rediscute.
Je précise que ce reportage manque parfois un peu de profondeur et de structure (critique systématique d'Inbev = "World Company" tant sur les fermetures de brasseries que sur le goût de la bière que sur la politique de management que sur la "pression" mise sur les distributeurs (verres à contenance augmentée de 10% pour les forcer à acheter plus), c'est un peu comme les reportages de capital, qui sont un peu creux quand on connait bien le sujet traité.
il fait beau