Sujet : Distillation de jaune et de lie

Le jaune en tout genre, boisson atroce à l'anus étoilé, avec degré alcoolique obtenu par azéotropie - ce sont surtout les résidus benzéniques qui vous rendent malades -, j'avais décidé de distiller le restes de mes Ricards et 51  que je gardais des siècles pour d'éventuels invités.

   J'ai pris un tube de cuivre de 12/14 mm à brancher sur le robinet d'eau froide.
J'ai percé ses flancs à 2 endroits espacés d'une trentaine de cm pour y faire passer un fin tube de cuivre recuit - souple - de 4/6 mm, destiné à la liquéfaction des vapeurs alcoliques issues de ma cocotte minute.

Ça vous fait un super alambic, que j'ai utilisé aussi pour tenter de produire de la Grappa, à la façon des italiens, avec la lie de ma production de vin imbuvable.

Malheureusement, le distillat - Das Ich -, bien que très clair, avait conservé son ignoble goût.

   C'est là que j'ai vu que c'était difficile d'être un bon couilleur de bru.

Il suffit de refuser ceux qui veulent nous dominer pour que ça les rende illégitimes.