Les brasseurs de Lorraine (Page 1 de 3)

Bonne idée tiens !!!!    ( m'enfin mon chauvinisme sub-conscient risque de prendre le dessus et écarté du coup tout objectivité et dans ce cas il vaut mieux peux être s'abstenir.... )

[i][b]C'est parceque la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con.[/b][/i]     

Il est évident que d'avoir des bières qui sortent justement du format "bière trappiste" est un concept qui justement demande une certaine ouverture du palais.
Ainsi essaie de faire croire à quelqu'un que le coca cola et le pepsi sont la même chose : beaucoup n'y voient aucune différence !!!
Après il faut justement cette diversité pour se faire son propre gout.

Mais faire des millions de bouteilles stéréotypées ne me parait pas un gage de qualité mais juste du formatage... et de l'industrialisation.

Pour le topic, je n'ai pas assez de connaissances sur ces bières pour me faire passer pour un expert.
A mon humble niveau je sais que je les apprécie (je viens juste de fini un fut de loroyeuse).

Mais j'avoue que j'aime quasiment toutes les bières pour leur différents gouts, parfums etc... (sauf despé qui passe plus).

Je suis d'accord avec toi mais si les micro-brasseries françaises étaient au niveau de la Ch'ti et de la Jenlain, ça se saurait également, et elles auraient certainement plus de ventes. Quoique leurs prix, oulala, faut s'accrocher aussi...
Il y a trop de bières médiocres en France pour vraiment intéresser le public, même les belges et les allemands ne sont pas intéressés (pas étonnant, car la bière à la violette ou bière au génépi c'est vraiment du made in France plutôt écoeurant).
La desperados c'est clair c'est pas de la bière...

J'ai donc déplacé ici la discussion sur les bières des Brasseurs de Lorraine, qui n'avait rien à faire dans le topic "équivalent Leffe en fûts de 5 litres).
Soit 8 messages (les 2/3 de la conversation) ce qui me prend environ 5 minutes.

Si je propose d'ouvrir une discussion ailleurs c'est parce qu'elle est HS à l'endroit où elle se développe.

Pas besoin d'être un spécialiste pour ouvrir une discussion, on peut ouvrir une question d'ordre général, il n'y a pas lieu à donner des retours d'avis "excessifs".

Pour ce qui est des bières au génépi, violette, marc de café et baygon rouge, j'ai beaucoup de mal à les boire de façon régulière.
Je goutte pour me faire une idée et je m'arrête là.

Tout comme les limonades américaines (heu je voulais dire bières).

Mais je soutiens qu'il faut préserver la diversité espérons que les brasseurs lorrains améliorerons le niveau de leurs bière pour vous plaire.

Nous faisons tous des erreurs.

Le plus marquent dans ce type de bière (lorraine en l'occurence) c'est qu'elles sont très peu filtrées et très "amères" avec un léger effet acidulé laissant croire que la bière est passée.

Mais au final l'impression d'avoir une bière faite maison et non pas par hectolitres est satisfaisant.

Par contre, d'aucun diront plus avoir à faire à un cidre de houblon que d'une bière...

A vouez qu'elle est mieux ici cette discussion.

c'est dommage que je n'ai pas pu goûter ta Choue quand je suis passé dans ton coin Adeptee (bon d'accord c'était en Champagne mais du côté de Chalon pour moi c'st déjà le grand Est !).

c'est bien en aasumant ses visions les plus réductrices qu'on peut les transgresser.

Sur la distribution en GMS c'est aussi un piège pour les petits brasseurs. L'obligation contractuelle de fournir les quantités peut reléguer le critère de qualité au second rang.

GMS c'est l'abréviation de quoi en fait ?

[i][b]C'est parceque la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con.[/b][/i]     

C'est bien ce que j'essayais de montrer avec les grosses brasseries qui "innondent" le marché en faisant n'importe quoi comme bière (genre grim blanche...)

Hélas, il ne reste plus grand chose comme tu dis (mais y'a encore quelques brasseurs comme à st nicolas de port).

Non ca ne brasse plus  , voici un extrait de l'histoire de la brasserie de st nicolas :

En 1907, les Frères Courtois et la famille Moreau réunissent leurs deux établissements pour créer "les Grandes Brasseries de Saint Nicolas". Paul Moreau en prend la direction. Dès 1925, il projette de rénover la brasserie, mais finalement, avec l’aide de l'architecte Fernand César, il conçoit une nouvelle usine, ultra-moderne. Elle sera réalisée en 1931-32 par l’entreprise France-Lanord. Magnifique illustration de l'architecture industrielle "Art-déco", les bâtiments seront ultérieurement classés.

En 1933, au décès de Paul, son neveu Jean Moreau reprend la direction de l'entreprise et poursuit la politique d’expansion par une recherche de nouveaux débouchés en particulier vers l’Afrique et par l’absorption de plusieurs brasseries: Dombasle en 1935, Humes, Baccarat et Vaucouleurs en 1949.

En 1959, les usines de Vézelise et Saint-Nicolas-de-Port fusionnent. Elles s’associent également avec Sedan dans les Ardennes. En 1972, elles seront rachetées par le groupe Sébastien Artois qui fermera Vézelise puis Sedan et enfin Saint-Nicolas en 1986, mettant ainsi un point final à deux siècles d’activité brassicole dans le bassin de la Meurthe au sud de Nancy.

Ce qui subsiste c'est le musée brassicole

[i][b]C'est parceque la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con.[/b][/i]