Voilà l'illustration du problème : on continue sur l'Iris ou pas ?
allez ça rejoint le commentaire que j'allais faire sur le sujet "général".
Shyne cite la Bush Pretige et la Bush de nuits : ce sont des bières à production limitée, mais répétitive.
Bmx cite l'Iris brassée une fois l'an, c'est pareil. ça me fait penser à l'Affligem patersvat aussi.
Donc il y a deux sortes de bières rares, les "one shot" (Duvel Triple Hop) et les bières à production régulière mais limitée (sous entendu "par choix du brasseur" parce que des microbrasseries produisant une très petite quantité il y en a un paquet !)
Allez on peut en ajouter une 3ème catégorie, les bières étrangères difficiles à trouver, ou les bières réservées à l'export (Chouffe houblon) et même une quatrième (westvleteren)
On voit bien qu'il ne peut y avoir de chasse au trésor systématique vu la diversitédes situations. en plus la difficulté à trouver une bière est toute relative, je fais partie des bienheureux qui ont un accès géographique privilégié aux productions belges et françaises, ce n'est pas le cas de tout le monde.
Donc je pense préférable d'en rester à la question : pourquoi des brasseurs restreignent-ils volontairement la diffusion de l'une de leurs bières ?
Ben à mon avis c'est soit juste une façon de tâter ou titiller le marché (une production plus importante se vendrait elle ?), soit un effet d'image (ce qui est rare est précieux), soit un effet de saison (une bière qui ne tente pas de devenir la "bière habituelle" du consommateur - qui est normalement l'objectif premier du brasseur en quête de parts de marché - mais plutôt une bière perçue comme un "rendez vous annuel" avec comme points de mire habituels noel et mars mais ça peut être une autre date tout à fait propre à la "bière rare" en question)
il fait beau