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Celle que j'ai goûtée l'autre jour était assez agréable, très houblonnée, et était bien étiquetée à 0,5°
Légère mais pas l'impression de boire une bière "sans" alcool.
En revanche 2,50 € ça les vaut pas
c'était cette étiquette?
Quand on s'ennuye le soir on fait des expériences... Un Eisbocks de... BLACK!!!
"Bière" bien sirupeuse, une bouche très typée => vinaigre balsamique, échalote et café serré. Finale très très longue, très amère, bien café.
Une belle expérience 
ça s'appelle une double black 
presque^^ ce serait plutot de la heavy black
Eisbock de Black Albert où de Black Mikkeller ?
Black Mic Mac 
Black Mikkeller
J"avais beaucoup aimé mon Ijsbock de stout extra export.
Malheureusement comme je craignais une contamination aérienne pendant l'opération j'ai préféré ne pas garder trop longtemps.
ça survit à combien de degrés les brettanomycines ?.
Ce n'est pas trop une histoire de volume d'alcool, d'ailleurs tu en trouves dans le vin ( sur les raisins directement) , c'est pour cela qu'ils y mettent des sulfites, un ph élevé est aussi propice aux développement de bactéries.
Black Mikkeller
comment ça ? c'est possible de congeler une bière de ce degré d'alcool la? avec un congélo genre " standard " ?!? c'est quand même super fort ? comment ça peut geler ?
Cocasse vos histoires de bières congelées ; je vais essayer dès que je peux 
Un jour, faudrait que vous essayiez la Chimay en granita, ça me plierais en deux de voir ça 
(vous savez, ces espèces de glace d'eau à moitié congelé qu'on vous sert dans un gobelet avec une paille, l'été durant ?)
On appelle ça un granité, en fait.
J'en ai goûté un récemment, fait à base de champagne : tu rajoutes du citron, un peu d'eau et du sucre, ensuite tu fais geler, et tu casses la glace assez fréquemment pour qu'elle n'ait pas le temps de former de gros cristaux.
Pas sûr que ça donne quelque chose de présentable avec de la bière. Mais bon, pourquoi pas, les expériences c'est toujours amusant.
Là c'est vraiment le côté obscur de la bière 
là j'y crois pas une seconde !
Congeler une Tokio* !?! 
Vite fait 
c'est pourtant vrai, et c'est très bon
vu le corps et la teneur en alcool de cette bière, nous avons également laissé décongeler le 2ème tiers dans un autre verre
c'est évidemment moins alcoolisé, mais il en reste quand même et on retrouve bien les gouts de jasmin et cranberry
un premier bilan:
1/ les défaites:
chimay bleue, rochefort 10, st bernardus abt 12: résultat assez aqueux, voire insipide
urthel samaranth quadruple: alcool, alcool, et encore de l'alcool; rien d'intéressant au final
2/ les nuls:
westvleteren 12 (je sens que certains vont faire un infarctus): résultat sympa, on obtient bien la quintesscence de la bière, mais très (trop) sucré; bizarre
3/ les victoires:
black albert, cuvée delphine (on retrouve presque la black damnation V): les seules à obtenir un eisbock qui mousse un peu
dolle extra stout, malheur 12
tokyo*: terriblissime! mais ça fait mal aux cheveux (mieux vaut les avoir courts)
stille nacht 2009 (comme quoi il n'y a pas que les brunes qui y passent)
les prochaines victimes: kasteel brune, gulden draak, XI.I batch 2010
en projet: samichlaus? (à voir avec dark)
en projet: samichlaus? (à voir avec dark)
Je m'en occupe
l'eisbock de tokyo*:
Ben moi, les gars, j'ai préparé mon EisBock confidentiel.
Un spécial "cheveux courts" pas trop corsé au thé vert anti-oxydant.
Je vous en parle dès que je suis remis de tout ça !
La ferme !!!
je me suis quoté ici, dans la discussion générale sur les icebocks, pour ne pas polluer la discussion sur la double black
j'ai cru comprendre sur leur topo sur la recristallisation qu'ils prélèvent l'eau glacée au fur et à mesure, ou à tous le moins par paliers. (là on parle bien de la double black)
Ce qui signifierat que contrairement à nos expériences brutales "d'icebocks maison" l'alcool n'est jamais congelé, même s'il faut baisser de plus en plus la température pour arriver à congeler l'eau compte tenu de la proportion croissante d'alcool.
Je vais encore "sacrifier" 3 stout extra pour me faire un icebock selon cette "méthode progressive", le résultat pourra être comparé avec la 33 cl "brutale" que j'ai réalisée il n'y pas longtemps en préviision d'une petite dégustation à venir. (là on est sur le sujets petits eisbocks entre amis où je vais m'autoquoter de ce pas)
Gros jardinage ce week-end, et quand est venue dimanche l'heure de l'apéro ma femme m'a fait le plaisir de me préparer "une petite bière".
Bien évidemment vu la rubrique vous vous doutez qu'elle m'avait servi mon ijsbock de stout extra export !
33 cl à 22° le midi en plein cagnard !
Bon disons que les conditions de dégustation n'étaient pas idéales mais quand la bière est tirée...
C'était merveilleux, la torréfaction sublimée, évoquant autant le maltque le café, le houblonnage en contrepoint aromatique parfait, viscosité hénaurme, densité extraordinaire : un pur moment de bonheur.
Un seul regret : pas de mousse (il paraît qu'il y en avait quand elle a été servie).
C'est sûr je recommence ça, mais là je vais essayer d'évaluer la durée de congélation pour prélever la "substantifique moëlle" avant congélation, je suis sûr que ça donnera plus de carbonation.
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